Antidouleur peu coûteux et disponible sans ordonnance, le paracétamol doit cependant être pris avec une grande modération. Il peut en effet conduire à des lésions du foie, parfois fatales, et du rein.
Il est démontré que prendre de hautes doses de paracétamol, au-delà des recommandations (4 g par 24 h), peut conduire à des lésions du foie, entraînant parfois un état hépatique si grave qu’il nécessite une greffe.
Plus grave que les dommages hépatiques et rénaux : la prise répétée de paracétamol, à des doses un peu trop élevées peut tuer, selon une grande étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology.
Lire l'article complet ici !
La douleur est utile car elle nous averti qu'il y a un problème avec notre corps.
Cacher une douleur, surtout avec du paracétamol, est une erreur. Il vaut mieux soigner la cause.
Prendre du paracétamol va entrainer des douleurs à notre organisme, ce qui va conduire le patient à prendre encore du paracétamol, ce qui augmentera encore sa douleur jusqu'à l'hospitalisation.
C'est actuellement le cas d'une personne que je connais bien. Une personne qui n'a jamais dépassé les 1g de paracétamol par jour, mais qui a régulièrement pris du paracétamol pendant des années et qui est aujourd'hui hospitalisé pour des problèmes au foie et aux reins.
Thierry Cumps
Tous les médicaments ci-dessus contiennent du paracétamol.
Il est démontré que prendre de hautes doses de paracétamol, au-delà des recommandations (4 g par 24 h), peut conduire à des lésions du foie, entraînant parfois un état hépatique si grave qu’il nécessite une greffe.
Plus grave que les dommages hépatiques et rénaux : la prise répétée de paracétamol, à des doses un peu trop élevées peut tuer, selon une grande étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology.
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La douleur est utile car elle nous averti qu'il y a un problème avec notre corps.
Cacher une douleur, surtout avec du paracétamol, est une erreur. Il vaut mieux soigner la cause.
Prendre du paracétamol va entrainer des douleurs à notre organisme, ce qui va conduire le patient à prendre encore du paracétamol, ce qui augmentera encore sa douleur jusqu'à l'hospitalisation.
C'est actuellement le cas d'une personne que je connais bien. Une personne qui n'a jamais dépassé les 1g de paracétamol par jour, mais qui a régulièrement pris du paracétamol pendant des années et qui est aujourd'hui hospitalisé pour des problèmes au foie et aux reins.
Thierry Cumps